• Si je ne comprends pas pourquoi tu es partie comme ça, si tu m'as déjà oubliée aussi vite que tu m'as aimée, moi je garderai éternellement de toi :

    Ta fière beauté, ta sage bonté, ta patience d'ange, ton infinie gentillesse et ton immense générosité, ton visage tendre et ténébreux à la fois, tes grands yeux sombres qui me faisaient t'appeler "petite esquimaude", ton sourire magique avec ce petit creux juste là, au bord de ta lèvre, que je ne me lassais pas d'embrasser, tes cheveux si noirs doux et brillants avec leurs petites mèches folles balayant ton regard et dans lesquels j'aimais tant enrouler mes doigts ou repousser d'un geste tendre, ta nuque toute chaude et câline sur laquelle je promenais ma main caressante, ton épaule fragile qui m'a accueillie toutes ces nuits pour effacer mes peines et faire fuir mes peurs, tes bras forts qui m'ont serrée à m'en étouffer de peur que je ne m'envole, tes mains... Ta main ornée de sa petite chevalière dorée, celle que tu trouvais un peu masculine, celle dont j'admirais à la folie le symbole de force et de puissance sur ta main si délicate et si féminine aux ongles rougis...

    Là, moi je te souhaite tout ce qu'il y a de meilleur et de tout mon coeur : rencontrer quelqu'un qui saura t'aimer fort fort fort comme tu aimes, qui saura prendre soin de toi et des enfants, qui t'accompagnera longtemps sur le chemin de la vie, qui sera toujours là pour toi, qui saura te protéger et ne pas te faire souffrir, qui saura panser tes blessures et combler tes vides, quelqu'un pour un amour simple et sans difficultés, sans distance, sans absence, tout en présence et en abondance...

    J'aimerais tant être cette personne-là... Moi, maintenant, je n'oserai plus jamais aimer, ni offrir mon coeur ni ma confiance. Et puis, de toute façon... c'est toi que j'aime, alors...

    [Et je garde de toi ta petite polaire rose, avec la manche vide serrée autour de ma taille pour pouvoir m'endormir, imaginant que c'est ton bras qui vient là me réconforter et peser de tout son amour, ce bras auquel je m'agrippe, nuit après nuit, comme un fragile espoir de te sentir encore tout contre moi...]


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  • J'ai refusé une fois de plus l'invitation de mes parents, prétextant n'importe quoi...
    Ils t'aiment beaucoup... Je sais que, si je les vois, ils vont me demander de tes nouvelles et pourquoi je ne vais plus chez toi pendant les vacances de Pâques et pourquoi toi tu ne viens plus... Je sais que, dès qu'ils vont prononcer ton prénom, je vais me mettre à pleurer ou m'effondrer complètement, devant eux...
    Alors j'ai refusé, pour ne pas leur faire de peine, ni qu'ils s'inquiètent pour moi, pour toi. J'ai refusé pour ne pas qu'ils me trouvent amaigrie ni qu'ils voient mes yeux cernés de sommeil et de pleurs. J'ai refusé parce que je ne saurais pas quoi leur dire ni quoi leur répondre, parce qu'ils ne savent pas tout ce qui existe entre nous, parce que je comprends déjà pas moi-même pourquoi tu es partie si vite, d'un seul coup comme ça...


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    J'ai passé la journée à regarder encore toutes tes photos, nos photos, à les mettre en pleine écran pour pouvoir caresser ton visage, pour me donner l'illusion de ne pas être seule, d'être encore avec toi...
    Je n'arrive pas à comprendre ce qui s'est passé, ce qui se passe, à réaliser, à croire...

    On était si pleines l'une de l'autre, si amoureuses... Maintenant, tout ce vide d'un seul coup... Plus aucun sms, les miens qui s'envolent et restent accrochés au vide de tes silences, tous ceux qui restent en brouillons et que je n'envoie plus, les mails, lettres et textes que je t'écris puis que je jette aussitôt... Plus aucun appel, un téléphone qui reste muet, plus ton sourire, plus ton amour, plus rien... que mon coeur en larmes qui déborde...

    Je me demande sans cesse comment tu vas, ce que tu fais, comment les enfants ont réagi, si je te manque, si tu penses à moi des fois et à quel moment, à quel occasion, à quel propos, si tu as envie de moi parfois, si tu m'aimes... Je me demande des milliers de choses qui restent sans réponse et tournent en boucle dans ma tête jours et nuits...
    Je t'embrasse comme je t'aime...


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  • C'était il y a un an, jour pour jour... C'était le vendredi 28 mars 2008... Il était un peu plus de 23 heures... Nous nous sommes vues pour la 1ère fois et nous nous sommes aimées dès la 1ère seconde...

    C'est toi que je veux dans ma vie. Toi avec les enfants, toi avec les 800 kms, toi avec tout ce qui fait que tu es toi... parce que c'est TOUT TOI que j'aime Coeur...
    Je t'embrasse comme je t'aime...


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  • Je revois les lueurs qui brillent dans tes grands yeux quand tu as bu, mais juste un tout petit peu et que tu te laisses alors aller, que tu "lâches tout", pour mon plus grand plaisir, pour ton plus grand plaisir. Je revois ces étoiles sur tes lèvres qui font de toi une vraie chipie, toute collante de baisers, tout ennivrée d'aimer...

    Je revois ces photos qu'on s'envoit par MMS, des photos de nous, bien évidemment, mais aussi des photos de tout et n'importe quoi, des objets qu'on tient absolument à se montrer, à se faire découvrir, en avant-première, des secrets qu'on ne sait garder bien longtemps l'une pour l'autre, qu'on a tant hâte de se dévoiler, tellement le plaisir est partagé à leur évocation...

    Je te revois à la porte du camping-car, ton visage affichant toujours un si grand sourire qui me chavire le coeur. Je te revois apportant le plateau du petit-déjeuner dans la chambre. Je revois nos vacances, le soleil, la neige, nos week-end en amoureuses au camping. je revois ta maison, chaque pièce, chaque objet, les enfants, le chat... toi... partout...

    Je nous revois encore tellement si fort, arpentant les rues du village de ton enfance et toi me racontant tes moindres péripéties, tes moindres souvenirs. Nos mains n'osent se tenir à cause des passants pourtant rares mais nos bras se frôlent sans cesse, nos épaules se cherchent, ta main prend la mienne furtivement, amoureusement et nos yeux se caressent du regard.

    Tant de tendres moments de complicité... tant de fois où j'ai ébouriffé tes cheveux, où j'ai chatouillé ton caractère, où j'ai été un peu fière de t'avoir rendue jalouse, par taquinerie, où... on s'est aimées...


    Je revois tant ces moments et tant d'autres, tout aussi complices entre nous. Je revois tout ça, tout, et j'aurais donné ma vie pour que ça ne s'arrête jamais...


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    Je revois les lueurs qui brillent dans tes grands yeux quand tu as bu, mais juste un tout petit peu et que tu te laisses alors aller, que tu "lâches tout", pour mon plus grand plaisir, pour ton plus grand plaisir. Je revois ces étoiles sur tes lèvres qui font de toi une vraie chipie, toute collante de baisers, tout ennivrée d'aimer...

    Je revois ces photos qu'on s'envoit par MMS, des photos de nous, bien évidemment, mais aussi des photos de tout et n'importe quoi, des objets qu'on tient absolument à se montrer, à se faire découvrir, en avant-première, des secrets qu'on ne sait garder bien longtemps l'une pour l'autre, qu'on a tant hâte de se dévoiler, tellement le plaisir est partagé à leur évocation...

    Je te revois à la porte du camping-car, ton visage affichant toujours un si grand sourire qui me chavire le coeur. Je te revois apportant le plateau du petit-déjeuner dans la chambre. Je revois nos vacances, le soleil, la neige, nos week-end en amoureuses au camping. je revois ta maison, chaque pièce, chaque objet, les enfants, le chat... toi... partout...

    Je nous revois encore tellement si fort, arpentant les rues du village de ton enfance et toi me racontant tes moindres péripéties, tes moindres souvenirs. Nos mains n'osent se tenir à cause des passants pourtant rares mais nos bras se frôlent sans cesse, nos épaules se cherchent, ta main prend la mienne furtivement, amoureusement et nos yeux se caressent du regard.

    Tant de tendres moments de complicité... tant de fois où j'ai ébouriffé tes cheveux, où j'ai chatouillé ton caractère, où j'ai été un peu fière de t'avoir rendue jalouse, par taquinerie, où... on s'est aimées...


    Je revois tant ces moments et tant d'autres, tout aussi complices entre nous. Je revois tout ça, tout, et j'aurais donné ma vie pour que ça ne s'arrête jamais...


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  • Il y a toujours toutes ces photos de toi, de nous, un peu partout dans la maison, comme un peu partout gravées dans mon coeur.

    Chaque soir, je sors très précieusement celle qui est dans le petit cadre doré, dans le tiroir tout près de mon lit, et je t'embrasse pour te souhaiter une belle nuit, de doux rêves, la sérénité de ton sommeil...

    Et, chaque matin, mon tout premier geste est d'ouvrir, tout aussi solennellement, ce même tiroir pour t'embrasser à nouveau, derrière le verre froid et te souhaiter une douce journée, pleine de rires d'enfants, de petits bonheurs simples et de nouveaux espoirs...

    Dors bien mon Ange. Je t'aime.


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  • Finalement je me suis quand même forcée à aller travailler la semaine dernière. Mais en arrivant, j'ai eu l'impression d'être ailleurs, d'être étrangère à tout, à tout le monde. Des gens me parlaient et moi j'avais le regard vide, je n'entendais rien, je ne voyais rien, tant les larmes contenues brouillaient mon regard, tant ton image et ta voix se superposaient à ce qui se trouvait autour de moi.

    Une étrangère avec aucun envie particulière, aucune motivation, aucun sentiment, aucun but. Quelqu'un qui erre là, dans les couloirs et dans les salles, à ta recherche, à la recherche de ce que j'ai perdu et qui représentait ma vie, quelqu'un avec les yeux morts et gonflés de pleurs, de fatigue et de manque, quelqu'un avec les yeux humides et la gorge nouée de sanglots qui ne demandent qu'à sortir et qui sortent, finalement, à la moindre évocation de ton souvenir, de ton sourire...

    Et puis, tout s'est mis à tourner très vite, tout le film de nous 2, tous nos plus beaux instants et je suis tombée, inanimée... Je pourrais t'en vouloir beaucoup de ça, de m'avoir oubliée, abandonnée comme ça, d'un seul coup, toi qui ne supportes pas plus que moi cette idée qui te "glace"... Mais non, je n'y arrive même pas tant je t'aime encore et tant je te trouve magnifique, mon si bel Ange. Je n'en veux qu'à moi-même, finalement, de ne pas avoir su t'aimer comme tu l'aurais mérité, de ne pas avoir su prendre assez soin de toi, de t'avoir fait du mal au lieu de te protéger, au point de te perdre à jamais. Je t'aime. J'ai si froid...


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  • J'étais ton p'tit bout de femme à toi. J'adorais cette expression là entre toutes, c'était ma préférée, ma si précieuse... Un p'tit bout de femme que tu as tenu par la main, entraînée pour un p'tit bout de chemin, un p'tit bout de vie, un p'tit bout de rêve... que tu as fait grandir, rire, devenir, dont tu as pris soin, attentivement, amoureusement.

    Ta Fleur, le premier surnom que tu m'avais donné, ta p'tite fleur, celle que tu as su épanouir, faire croître, celle dont tu as révélé la beauté, la fierté, la passion, que tu as relevé contre vents et marées. Un p'tit bout de femme fragile, tout aussi fragile que toi tu l'es...

    C'est vrai que je n'ai plus aucune fierté là. Je dois paraître maintenant bien piêtre, bien pathétique, avec toute cette souffrance et tout cet Amour dont je ne sais plus quoi faire, à ne plus savoir me relever seule, à regarder en boucle toutes nos photos, tous nos souvenirs, à voir des images de toi partout, à penser à toi jour et nuit... et à dormir avec ta petite veste polaire rose, toute serrée contre moi, en pensant que c'est un peu de toi et en tenant très fort contre mon coeur le bout de la manche en imaginant que c'est ta main...


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    "Mon Amour, mon doux, mon tendre, mon merveilleux Amour
    De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
    Je t'aime encore, tu sais, je t'aime"

    Jacques Brel La chanson des vieux amants

     

    J'ai tant rêvé que nous vieillirions ensemble, dans notre maison parfumée de rires et d'amour, tant rêvé, tant rêvé que ça a tué ma réalité à jamais... Je n'existe plus, pour personne. Je suis redevenue ce rien, cette mystérieuse inconnue que tu as rencontrée il y a un an, que tu as fait grandir, que tu as aimée, dont tu as pris soin mais que tu gardes maintenant en ton coeur juste "comme un oiseau que tu aurais blessé"...

    Le plus dur c'est de ne plus lire, de ne plus entendre surtout, tous ces milliers de "je t'aime" qu'on se murmurait à longueur de journée et de nuit... Moi j'ai envie de les hurler là, mais je dois les contenir au fond de ma gorge nouée, par pudeur et par respect pour toi. Là, je prends conscience que ton amour s'est éteint, que je l'ai enfui, que je dois enfouir le mien... J'en deviens folle, effondrée, à passer mes jours à me cacher pour pleurer, mes nuits à regarder toutes nos photos, à lire nos textes, notre histoire, à ne plus pouvoir ni manger, ni dormir, à espérer, à attendre, qu'un sms arrive avec un "je t'aime", que le téléphone sonne... et que ce soit toi... mais rien, que le vide et le silence de la fin.

    J'ai envie de hurler oui, de hurler tellement j'ai mal, de te crier "JE T'AIME MON COEUR, JE T'AIME TANT"... Où sont passé tous nos rêves, tous nos espoirs, toute la magie ? Où est passé tout ce qu'on s'était promis, tout ce qu'on devait faire, vivre ? Aménager notre maison, notre jardin, décorer les chambres des enfants... On devait aller danser ensemble, partir en vacances, aller au cinéma, au restaurant, se promener main dans la main, boire le café au lit en mettant des miettes de brioche partout. Moi je veux faire du roller avec toi encore, je veux faire tout ça et tant d'autres choses qu'on avait prévues.

    Je t'en prie Coeur à moi, un amour comme le notre ne peut s'arrêter ainsi, pas comme ça, j'y crois tellement moi, on avait dit qu'on était la force que rien ne peut arrêter, l'objet que rien ne peut déplacer... J'aimerais tant que tu sois là, te voir, t'embrasser, caresser ta joue, tes cheveux, câlins, câlins, câlins contre toi, besoin là. Viens, viens me chercher, reviens, pardonne-moi et aime-moi à nouveau comme avant, aime-moi s'il te plait, ne me laisse pas, raconte-moi encore des histoires le soir, chante-moi des chansons, appelle-moi encore "ma Puce", "mon Ange", "mon Amour", "Mon ptit bout de femme à moi", AIME-MOI je t'en supplie !!


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