Continuer à écrire, à t'écrire, entretient peut-être, même très certainement, ce deuil de toi que je ne parviens pas à faire, cet amour qui perdure, au-delà des jours, des mois, au-delà de moi. Mais c'est comme un mystère que je me dois de percer, le mystère de ta si soudaine disparition, de ton envol, puis de mon désespoir et de ma vie sans toi, si noire. Je m'en veux, je me doute que c'est ma faute. Jamais je ne pourrai me pardonner de t'avoir perdue, de ne pas voir grandir les enfants, de ne pas voir se colorer notre maison de rires et de petits bonheurs de tous les jours.
ton blogg!!bisous