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    Un an est passé. Un an d'amour...

    Un an de bonheur partagé avec toi que j'aime tant. Un an de fous-rires, de désirs, de délires complices, de délices. Un an... Le plus bel an de ma vie, certainement, le plus doux et le plus tendre. Un an de nous deux, dans notre cocon moelleux. Et pourtant...

    Un an hachuré, ponctué de week-end, de vacances, de semaines. Un an jonché de pétales de nos jours éphémères, de nos retrouvailles, de nos déchirures. Un an avec toi puis sans toi. Un an de trajets en train, en voiture. Un an d'élans, de coupures.

    C'est la plus merveilleuse de mes années que je viens de passer à tes côtés, mon Ange. La plus douloureuse aussi... Celle où l'amour fait grandir au rythme de ses soupirs. Celle d'une rencontre amoureuse qui me marque à jamais de ton sceau. Celle d'une vie prometteuse, d'un avenir en commun dans notre maison à nous, d'un amour si serein, au bout de notre chemin... Je t'aime...


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  • Je t'aime mon Ange...

    Mon obsession... tenir bon... voilà juste ça, tenir bon alors que je suis loin de toi... tenir bon par tous les moyens...
    Eloigner tout ce qui pourrait me faire sombrer, tant le temps est long avant qu'on puisse être définitivement réunies toi et moi... tant il y aura encore de retrouvailles, suivies de déchirures... des mois et des mois encore de cette vie-là...
    Si j'y pense ça me fiche par terre, ça fait mal... Alors je veux pas me laisser aller, je veux pas me morfondre, et pleurer sur notre sort, ça ne peut mener qu'à la souffrance plus encore, à la destruction et... à l'abandon... oui à l'abandon... et à l'échec...
    Alors oui, je réagis, je vis, je m'occupe pour me délivrer de cette obsession, pour être moins dépendante, pour résister... Je compense...
    C'est vrai qu'à cause de cela je te parais plus distante, moins présente, j'en suis désolée mon Ange... Ce n'est pas un désamour, tu sais, juste comme une réaction de survie, à ma façon... Et pour te rendre moins dépendante aussi, t'aider à ma façon en te faisant réagir à ton tour, et que tu déposes au moins un peu les larmes... Parce que c'est pas une vie... et que tu ne peux tout reposer sur moi ainsi...

    Je t'aime libre et heureuse mon Ange...
    Je sais maintenant que tu me comprends... Je sais que je t'aime...


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    Je ne suis pas forte comme toi, moi. Je suis bien trop sensible, je pleure tout le temps, surtout en ce moment... Je ne peux plus rien faire sans avoir toutes mes pensées envahies de toi, pour finalement avoir les joues couvertes de larmes.

    Pourtant, sous ta force, je sais ta fragilité, moi. Je l'ai aperçue quelques fois, souvent même, au travers de petits signes qui me font craquer tant ils sont beaux... Derrière tes grands yeux, j'ai vu la tristesse. J'ai vu ton corps secoué des frissons de l'émotion. J'ai vu des larmes perler au coin de tes jolis cils. J'ai vu ton visage venir se nicher au creux de mon cou et tes bras me serrer si fort, ta main s'agrippant à la mienne...

    Je t'ai vu te cacher contre moi pour pleurer, pour ne rien montrer, le regard baissé de honte et de peur, le front tout bas de cet instant de relâchement que tu n'aimes pas et que pourtant, moi, je trouve si beau, si fort à partager.

    Je t'aime mon Coeur et j'aimerais être toujours là, dans tes bras, pour recevoir tes larmes, les essuyer du revers de ma main et caresser ton âme de mots doux et tendres, pour te bercer, pour apaiser tes chagrins.


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  • Le temps se venge
    Steuplait mon Ange
    Te laisse pas faire
    Les jours qui errent
    Te hantent, te mangent
    En mal étrange

    Si dure chimère
    Au goût amer
    Te laisse pas prendre
    Dans ses méandres
    Dépose les larmes
    Reprends les armes

    Toi ma tite Fleur
    Sèche tes pleurs
    Mon Ange de verre
    Viens je te serre
    Sors de cette ombre
    Ou tu t'ensombres...

    Toi mon Amour
    Au coeur si lourd
    Toi ma tite Reine
    Défais tes peines
    Mets tes sourires
    Sur nos délires...

    Je te veux forte
    Pas feuille morte
    Fruit d'un amour
    Qui tue tes jours
    Nie la faiblesse
    Qui tant te blesse
    ...

    Je t'aime,
    Je t'aime


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    Ma vie sans toi se rythme aux mouvements de la tienne. Mes jours se remplissent de tes sms que j'attends toujours avec la même ferveur, avec la même exaltation, que je m'empresse de lire avec la même ardeur et le même bonheur immense. Mes nuits sont peuplées de tes songes, de nos douces images, de tes baisers dans mon cou, de tes murmures à mon oreille.
    Mes réveils sont tristes de mes larmes inondant mes yeux dès l'aube, à la pensée que tu ne seras pas la première personne que je verrai en m'éveillant, au silence qui remplace ton enthousiasme à préparer le petit déjeuner pour nous deux.

    Ma vie sans toi se rythme aux battements de ton cœur, que je crois entendre à chaque minute, qui me bercent le soir et m'encouragent le matin, comme de douces paroles, un doux refrain, que tu murmurerais à nouveau à mon oreille, émue mais heureuse, afin que ma tristesse s'envole un peu, pour égayer mes journées et apaiser mes soirées.


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    Je suis sans cesse tiraillée avec ce besoin urgent de venir te rejoindre au plus vite. Tu n'es plus comme avant, je trouve... J'ai si peur que tu ne veuilles plus de moi si j'attends trop, si je tarde trop. J'ai si peur que tu finisses par te détacher de moi, par ne plus m'aimer...
    J'ai l'impression que, parfois, tu es si loin de moi alors que, pourtant, tu es bien là, tout près. J'ai l'impression que, parfois, tu es presque absente même, presque distante, comme si plus je me raccrochais à toi plus tu te dérobais...

    Je sais qu'à l'intérieur on ne peut pas trop être démonstratives, que tu ne peux pas te laisser aller, parce qu'il y a les enfants. Je sais qu'à l'extérieur on ne peut pas trop non plus parce que tu as peur du regard des autres. Alors, je me retiens partout, je n'ose pas insister, malgré le besoin que j'ai de toi, de peur de te blesser, de peur que tu te sentes "obligée", de peur de te paraître trop envahissante ou pire ridicule.
    Je me retiens et c'est moi que je blesse tant tu m'as manqué, tant le besoin de profiter de chaque seconde auprès de toi est fort, tant j'ai cette envie de tout partager avec toi, avant que le temps ne te reprenne à moi à nouveau.

    Tu ne peux pas imaginer à quel point je suis heureuse lorsque tu as un geste tendre envers moi, comme je suis soulagée aussi... de sentir que tu es bien là, que tu m'aimes, que tu fais attention à moi. Parce que, plus tu t'éloignes plus je me rapproche, pour te montrer, te dire, que je suis là, que moi aussi j'existe, que je t'aime tant, que j'ai besoin de toi, pour te demander inconsciemment de ne pas m'oublier...
    A ces moments-là, lorsque tu as ces petites attentions pour moi, mon coeur se serre toujours, en même temps que ma main sur la tienne, comme pour lui dire "reste là s'il te plait, reste encore un peu sur moi, ça me fait tellement de bien, merci"...


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    Tu sais mon Ange, ce matin j'ai eu ma maman au téléphone. Elle t'aime beaucoup, elle me l'a dit. Elle a posé plein de questions sur toi...
    Pi elle a dit: "Il faudrait lui présenter ton frère, on sait jamais..."
    Voilà elle veut te caser, et lui aussi... Hi hi. Et moi j'ai pensé : pas question c'est mon amoureuse à moi elle est pas libre...

    - Ben oui mais moi, c'est pas le frère que je veux, c'est la soeur...
    - Hi hi, Je sais oui... mais ça, je pouvais pas le lui dire...
    - Moi aussi j'aime bien tes parents, j'ai peur de les décevoir quand ils sauront...
    - Je comprends, moi aussi j'aime bien tes parents, moi aussi j'ai peur de décevoir tout le monde, de faire du mal avec tous ces mensonges... mais... j'ai peur aussi d'être déçue... par leur réaction...
    J'ai juste peur que "le profil" de la personne auprès de qui je vis soit plus important à leurs yeux, que le bonheur qu'elle m'apporte... Moi j'aimerais que seul compte pour eux ce bonheur-là, peu importe auprès de qui...

    Je sais que c'est pas forcément facile à accepter pour des parents...


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    Je n'ai même plus envie de sortir, ni dans le jardin, ni dans la rue, ni même de voir du monde, même si tu me dis que ça me ferait sûrement du bien de me distraire, de parler avec d'autre, de m'ouvrir à nouveau.

    Moi, j'ai juste besoin, là, de me retrouver un peu seule avec mes souvenirs de toi, de nous. Comme si j'avais peur qu'en sortant le vent les emporte au loin. Comme si j'avais peur qu'ils sortent de moi, qu'ils s'effacent et qu'ils s'égarent. Comme si j'avais peur de ne plus trouver ton visage tout près du mien en rentrant.

    J'ai peur du dehors, j'ai peur du froid, sans toi. J'ai peur d'être seule. Alors, je reste dans mon cocon tout chaud encore de nos moments de tendresse partagée, de nos fous-rires, de nos sorties, de nos jours et de nos nuits ensemble, de notre vie à petits pas, qui se construit au fur et à mesure de nos retrouvailles.


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    J'ai gardé devant mes yeux cette scène terrible de ce film qu'on a regardé toutes les deux...

    Ce tiraillement...
    Tu te souviens? Les deux femmes, appelons les J et V, discutent... Puis le mari de J, vient la chercher avec sa voiture et ses enfants...
    Il lui dit que V l'a comme envoûtée, qu'elle est toujours là. Il n'est pas content...
    En même temps, G lui crie, au mépris du mari, "Reste avec moi, reste avec moi..."
    J se sent tiraillée... comme si chacun la tirait par un bras...
    J culpabilise de devoir la laisser, elle souffre de la souffrance de G... Elle rejoint son mari pourtant...

    Je n'ai pas de mari, mes enfants ne me tirent pas à eux, et tu n'as rien à voir avec G, cette horrible manipulatrice destructrice qui ne pense qu'à elle... Rien du tout vraiment... pourtant je me sens parfois comme ça... tiraillée...

    J'ai peur quand tu me veux juste pour toi, rien qu'à toi, et que tu es malheureuse parce que je ne peux pas rendre cela... Longtemps j'ai cédé à cela pourtant, mais tu as besoin de bien plus que je ne peux te donner... aujourd'hui, j'ai peur quand je ressens tes réactions comme autant de chaînes qui m'éloignent de la mère que je suis... Alors oui je me ferme, je m'éloigne, je me braque...
    Je sais bien que tu ne veux pas ça, que tu ne demandes rien...
    Je sais que tu m'as trouvée distante par moment... Ce n'est pas du désamour tu sais... c'est juste que...
    C'est juste que je ne veux plus tomber dans ce tiraillement entre la femme amoureuse et la mère inconditionnelle... Je n'aime pas sentir que les enfants sont comme de "trop" pour toi, que tu les considères comme une géne... Je ne veux pas choisir entre eux et toi, je veux tout et voilà...

    Tu dis toujours qu'il ne faut pas se forcer tu as raison, ni s'interdire, et moi je peux pas m'interdire d'être mère, même si mes attentions pour eux t'agacent... même si leurs gestes pour moi t'agacent... même si comme tu dis, quand ils sont là, "c'est plus pareil..."


    Je t'aime toujours autant, mon Ange, n'aies pas de doute là-dessus, mais j'ai juste bien compris ta leçon...
    Ni se forcer, ni s'interdire... à nous de trouver l'équilibre...

    Ta place est là près de moi, parmi nous... je t'aime...


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  • Le bonheur, il est simple quand on est ensemble, je suis là tu es là, on est bien et voilà...

    On est juste ensemble, et moi je me sens bien moi...
    Peu importe ce qu'on fait, ou ce qu'on ne fait pas, ou ce qu'on a pas pu faire quand on ne peut pas le faire...
    Peu m'importe si c'est plus pareil quand ceci ou cela, je suis près de toi... Voilà...
    Peu importe les dates, les moments, et même nos différences...
    Je prends ce qui vient comme ça vient... La vie nous donne peu pour le moment, mais même avec ce peu, je suis heureuse, simplement heureuse d'être pres de toi après cette si lourde absence...
    Pour moi, c'est juste là l'essentiel, le reste on verra...

    C'est vouloir ce qu'on a pas, et courir après dans un éternel regret qui fait mal.

    Je sais bien que c'est plus pareil quand les enfants sont là, mais ils sont là... c'est comme ça...


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