• Dreams... Les rêves... Parce que je trouve que c'est beau de rêver...
    Et puis tu sais comme j'aime cette chanson...
    Je t'aime Coeur. C'est pour toi...


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    Mon Ange,

    Le plus souvent quand on se voit... On est juste nous deux, c'est les vacances... C'est le rêve que tu décris... Tout est rose, on s'immerge dans notre cocon d'amour douillet et insouciant, avec tout le temps rien que pour nous... nous 2, Juste nous seules... Je peux m'occuper juste de toi, et toi de moi... Pas de contraintes, pas d'obligations, rien que des moments d'amour, des délires et des coups de folies, et le temps qui s'arrête...
    Un vrai conte de fées, oui... où il n'y a jamais de soucis, jamais de problèmes... juste quelques accros, de temps à autres...
    Un rêve vécu en réalité... ou plutôt une réalité de rêve... Un rêve toutes éveillées, un rêve en liberté... mais un rêve passager, que tu voudrais perpétuel...

    Mais la vie, la vie réelle, c'est pas ça...
    Ma vie à moi tu la connais, je sais qu'elle te fait peur, "elle t'étouffe" comme tu dis... C'est juste la vie d'une mère de trois enfants, qui les élève seule et travaille... Elle est faite d'une armée de contraintes, de corvées, "de linge et de machines, de courses à faire" comme tu dis, de soucis et de devoirs pour les enfants, de travail parfois le soir... et pourtant aussi, quoi que tu en penses, de besoin d'amour, cet amour que je voulais y ajouter et pour lequel tu ne me dis pas disponible...
    Une vie comme des milliers d'autres... sûrement très banale puisque tu ne la vois qu'ainsi... mais c'est ma vie, mon bonheur aussi, un bonheur simple, ordinaire, qui te déçoit...

    Cette vie là je réalise qu'elle est bien loin de tes rêves, et que jamais tu ne t'y feras... Tu le dis toi-même "c'est pas mon rêve de vie, je me sens trop enfermée, j'étouffe à attendre cloisonnée entre vous 4, à attendre qu'un créneau se libère pour moi..." C'est ainsi que tu ressens ma vie, et notre avenir... Et je moi je renonce à expliquer, justifier encore et toujours... un pas en avant deux pas en arrière...
    Cette vie-là elle peut pas être uniquement tournée vers toi et moi, comme dans nos week-end en amoureuses...

    Alors c'est sans doute pas courageux de ma part, mais plus tu te raccroches à moi, plus tu me places au centre de ta vie, de ton univers, plus ça me fait peur... parce que moi, je ne peux assumer cela, et je ne peux n'avoir que toi et tourner toute ma vie et mes attentions vers toi...
    Je sais que tu "ne demandes rien", mais ça change rien, le besoin est là, un besoin que moi je n'ai pas, et je sais que tu souffres de cela... et moi aussi...
    C'est surtout comme une incompatibilité, pour toi et pour moi, une incompatibilité qui nous déchire et nous détruit chaque jour un peu plus...
    Je ne peux te placer au centre de mon univers, j'ai essayé, mais, ça me déchire, ça me détruit... et si je le fais pas, c'est toi que ça déchire, que ça fait souffrir...
    Incompatible... Je ne veux pas te leurrer, ni me leurrer moi-même, on avance, on recule et on en revient toujours au même point, malgré tout notre amour...
    Je ne peux pas te donner ce dont tu rêves, pas de la manière dont tu le rêves, dont tu en as besoin...

    Tu as besoin de bien plus que je ne peux donner...


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    On vit une vraie et belle histoire d'amour nous deux... On s'est rencontrées comme dans un conte de fées. On s'est aimées dès le premier regard, dès le premier mot... Depuis, même s'il y a des hauts et des bas, même si beaucoup trop de choses nous séparent, on nage en plein bonheur, en plein rêve. Enfin, moi, c'est comme ça que je vois les choses, maintenant, depuis toi. Et c'est aussi comme ça que j'imaginais notre vie en commun.

    J'aimerais tellement que notre rêve se poursuive bien au-delà de toutes les contraintes, de tous les devoirs, de toutes les absences. J'aimerais tellement continuer à vivre avec toi de façon extraordinaire et si merveilleuse, malgré les sollicitations professionnelles ou familiales, malgré les interdits et les ratures.

    J'aimerais tellement un amour pur et beau, grandiose comme au premier jour, spectaculaire comme un feu d'artifice sans cesse renouvelé, un amour épanoui, fleuri, qui s'embellit et grandit de jour en jour, qui nous entraîne toujours plus loin vers la magie et le bonheur, un amour ni simple ni commun, pas comme celui des gens ordinaires dans leurs petites vies bien rangées, un amour qui dépasse tout, qui balaie tout comme un vent de folie perpétuel, une vie toute rose et toute joyeuse, une vie avec toi, AVEC TOI... dans le tourbillon de notre vie.


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    Pardon pour tout... Pour tout ce que je laisse reposer sur toi. Pardon de te faire souffrir en te ressassant sans cesse ma peine, mes peurs, ma solitude, mon manque de toi, de nous. Pardon d'être si dépendante de toi, à ne vouloir que toi, à n'espérer que toi, à ne voir que toi, à ne plus rien pouvoir faire sans toi, à n'aimer que toi.
    Pardon pour ce laisser-aller, pour ces pleurs, pour ces caprices de femme-enfant. Pardon d'être si faible, de ne me cramponner qu'à toi, de ne plus vivre mais juste survivre en attendant toujours avec autant d'impatience et de déchéance un simple geste de toi, peu importe lequel, un simple contact, nos prochaines retrouvailles...
    Pardon d'avoir un si grand amour, un amour inconditionnel, passionnel, fusionnel... Pardon pour la jalousie aussi. Je n'ai jamais voulu te forcer à quoi que ce soit tu sais, jamais. Je n'ai jamais voulu te faire de mal, surtout pas à toi. Je n'ai jamais rien demandé de bien explicite, de bien concret, juste certainement suggéré, même inconsciemment. Je n'ai jamais voulu de toi que ta présence, ton amour, tes sms, tes coups de fil, ta voix... ta voix et ta main...


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    Mon si bel ange, j'aime tellement te dire de faire attention à toi, de prendre soin de toi, de le faire pour moi, pour toi, parce que tu es si belle que ce serait dommage de ne pas t'en apercevoir, de ne pas le montrer, de ne pas te l'offrir, de ne pas me l'offrir.
    D'une façon un peu maternelle, certes, je te dis "ne prends pas froid", "couvre-toi bien", "repose-toi", "coiffe tes cheveux"... Je te dis "je tiens à toi", "j'ai peur pour toi", "fais attention"...

    Mon si bel ange, à travers tout cela, je te dis "Je t'aime"...


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    Le week-end dernier, il faisait si beau et si bon dehors. Le soleil est revenu, ainsi qu'un peu de chaleur déjà printanière. La lumière inondait à nouveau les allées, les massifs de fleurs en hibernation, encore cachées sous les feuilles de la morte saison...

    Je me disais que tu si tu étais là tu m'aurais aidé à sortir un banc et qu'on se serait assises là, profitant des premiers rayons du soleil, pour boire notre café...

    Tu vois, je ne fais que penser à toi, pour chaque geste que je fais, à chaque minute qui passe. Je ne fais que penser à ce qu'on ferait si on était ensemble, aux mots que tu me dirais, à ta main qui prendrait la mienne, à tes lèvres qui embrasseraient ma joue, à ton bras qui viendrait serrer un peu ma taille ou ma jambe...


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    Tout à l'heure, en rentrant, j'ai trouvé ce petit livre dans ma boite aux lettres...

    Rien que pour moi... Tu dis que "c'est pas grand chose", mais moi j'aime quand la vie est faite de petits pas grand-chose... Et j'aurais reçu ce qu'il accompagnait, comme ça tout sec, tout nu... beuh... mais là, il y avait cette tite attention, cette pensée rien que pour moi. J'ai imaginé ta sensation en l'envoyant, en choisissant... Alors voila, si, c'est grand chose... et moi j'ai chaud au coeur...
    Pi en plus il semble avoir été écrit juste pour moi, tant je reconnais tes mots à chaque page, tant j'ai eu la sensation que tu aurais pu écrire chaque page...
    Pi toute la déco elle est tellement toi, les couleurs, les coeurs... T'es sure que c'est pas toi qui l'a illustré et écris mon Ange?...

    Je t'aime... c'est aussi ce qui est écrit à la dernière page...


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    J'ai rêvé si souvent de vivre un amour si fort et si magique que le notre, une si belle histoire d'amour, qui a commencé dès le tout premier jour, comme un conte de fées avec deux princesses... J'en ai rêvé si souvent, oui, que maintenant que j'ai cette chance inouïe, merveilleuse, avec toi, je ne voudrais la laisser filer pour rien au monde.

    Je rêve de tant de choses pour nous deux... Une vie ensemble, une vie professionnelle, une vie de famille bien sûr, mais aussi et surtout, une vie de couple, de complices, d'amoureuses... De longues soirées romantiques dans les bras l'une de l'autre, dans notre cocon douillet, de sorties, de cinémas épaule contre épaule, de discothèques à danser ensemble jusqu'au bout de la nuit, de dîners au restaurant les yeux dans les yeux, de promenades main dans la main, de shopping à toute allure, de repas entre amis... de nuits de folies et de jours de délires...

    Je t'aime. Je rêve de toi, de nous. Je rêve pour nous, pour deux. J'ai envie de partager toute ma vie avec toi, tout de ma vie... Chaque seconde qui passe, chaque lieu où je me trouve, chaque ciel que j'admire, chaque saison que je traverse, chaque pas que je fais, chaque souffle d'air que je respire...


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  • Mon Ange elle dit toujours...


    - J'aime bien quand tu dis ça...
    - Moi c'est toi que j'adore! me répond-elle toujours...

    - J'adore tes cheveux, quand tu les coiffes comme ça...
    - Moi c'est toi que j'adore!

    - J'adore quand tu me regardes comme ça...
    - Moi c'est toi que j'adore!

    - J'adore picorer dans ton assiette!
    - Moi c'est toi que j'adore!

    - J'adore ton maquillage!
    - Moi c'est toi que j'adore!

    - J'adore ton parfum!
    - Moi c'est toi que j'adore!

    Ben vous savez quoi? Je dois avoir l'esprit lent, parce que depuis le temps, je devrais plus être surprise par ces réponses...
    Et ben si toujours, à chaque fois je me fais avoir, parce que... j'adore ces réponses...

    Et ce parfum-là il est pour toi...


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    Ce qui me manque le plus, c'est de m'endormir sans serrer ta main dans la mienne, nos doigts croisés sous les draps...

    Depuis qu'on est séparées à nouveau, j'ai remarqué que je m'endormais le bras tendu, la main ouverte, comme si j'espérais que, durant la nuit, la tienne allait venir la prendre et la serrer fort fort pour que je m'endorme sereinement...


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